Justice pour les victimes des électrochocs et témoignages

Pour les victimes
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survivants des éléctrochocs
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Electrochocs : « TORTURE », « MORT » et « FRAUDE MEDICALE »

« En Italie, où « ECT » a commencé il y a plus de 62 ans, « ECT » a presque été aboli.
Italie du Nord « interdit les ECT sur les enfants, les femmes enceintes et les personnes âgées »
« PERSONNE NE DEVRAIT TOLÉRER LES 100 000 DÉCÈS DES THÉRAPIES ECT »
Notre mère a reçu la thérapie électrique convulsive (ECT) il y a 46 ans,et elle souffre encore des cauchemars et des souvenirs douloureux de la «barbare»les traitements qui lui ont été donnés. Maintenant, cette même procédure, sous un différentGuise a été forcée de nouveau contre elle, contre son consentement et ses trois fils qui sont ses tuteurs légaux et n’ont aucun droit légal d’arrêter cette thérapie choquante.
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Informations et références pour les familles, les professionnels, les avocats et les chercheurs par le professeur peter Breggin

Informations et références pour les familles, les professionels, les avocats et les chercheurs
par le professeur peter Breggin

Pour les patients, les familles, les professionnels, Les avocats et les chercheurs

ECT (thérapie par électrochocs) implique l’application de deux électrodes à la tête pour passer l’ électricité à travers le cerveau dans le but de provoquer une crise intense ou convulsion. Le processus toujours endommage le cerveau, ce qui entraîne à chaque fois dans un coma temporaire et souvent flatlining des ondes cérébrales, ce qui est un signe de mort cérébrale imminente. Après un, deux ou trois ECT, le traumatisme provoque des symptômes typiques d’ un traumatisme crânien grave ou des blessures , y compris des maux de tête, nausées, perte de mémoire, la désorientation, la confusion, une altération du jugement, la perte de la personnalité, et l’ instabilité émotionnelle. Ces effets néfastes aggravent et certains deviennent permanents comme traitement de routine progresse.

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Un crime contre l’humanité


Un crime contre l’humanité
by Lawrence Stevens, J.D. Par Lawrence Stevens, JD

Ce que l’on appelait électrochocs ou d’un traitement de choc électrique (EST), est maintenant sous le nom de « électrochocs », souvent abrégé ECT. L’expression est trompeuse, car l’ECT n’est pas une forme de thérapie, malgré les prétentions de ses partisans.  ECT provoque des lésions cérébrales, des pertes de mémoire, et une diminution de l’intelligence. Un article paru dans le 25 mars 1993 New England Journal of Medicine, dit « ELECTRO- CONVULSIVE thérapie est largement utilisée pour traiter certains troubles psychiatriques, en particulier la dépression majeure» (p. 839). Le 26 mars 1990 numéro du magazine Newsweek rapporte que « électroconvulsivothérapie (ECT)… Connaît une résurgence…. On estime que 30000 à 50000 Américains reçoivent maintenant une thérapie de choc, chaque année» (p. 44). D’autres estimations récentes aller jusqu’à 100000 par an.

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Un crime contre l’humanité

ELECTROCONVULSIF EN PSYCHIATRIE:
Un crime contre l’humanité

LE TRAITEMENT DE CHOC par Lawrence Stevens, J.D. en français

Ce que l’on appelait électrochoc ou traitement par électrochoc est désormais généralement connu sous le nom de « thérapie électroconvulsive », en abrégé TEC. Le mot est trompeur, car la TEC n’est pas une forme de thérapie, malgré ce qu’affirment ses défenseurs. La TEC cause de graves dommages au cerveau, avec perte de mémoire et diminution de l’intelligence. Un article paru le 25 mars 1993 dans le New England Journal of Medicine indique : « La thérapie ELECTROCONVULSIVE est largement répandue dans le traitement de certains désordres psychiatriques, en particulier dans les cas de dépression. » (p. 839). Le numéro du 26 mars 1990 du magazine Newsweek rapporte que  » la thérapie électroconvulsive (TEC) est en train de réapparaître… On estime que chaque année de 30 à 50.000 américains subissent désormais la thérapie de choc. » (p.44). D’autres évaluations récentes indiquent un nombre de 100.000 cas par an.

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les sites de médecin

Peter R. Breggin, MD , a été appelé  » The Conscience of Psychiatry « 
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Avis de médecins

TÉMOIGNAGE DE JOHN M. FRIEDBERG, MD, neurologue, devant la commission de la santé mentale de l’état d’assemblage New York
ECT : les mensonges.
Hémorragie intracérébrale après la thérapie d’Electroconvulsive (ECT).Dr. John Friedberg, Neurologist — Dr. John Friedberg, neurologue :
« Tous les ECT (choc électrique) produisent des dommages au cerveau. … Si vous voulez des lésions cérébrales, c’est votre prérogative … il n’y a pas de moyen plus efficace que l’ECT. Il est plus efficace qu’une carcasse de voiture, ou de se faire frapper avec une mousse Instrument. « 
Comme pour la plupart des « solutions »pour troubles psychiatriques , le « traitement » est plus souvent utilisé pour rendre la vie plus facile pour les personnes autour du patient que pour réellement aider les patients eux-mêmes
Un psychiatre qui attaque ses patients avec une forme bizarre et non scientifique de pseudo-thérapie n’est pas digne de confiance.«Quand un courant électrique est appliqué à l’organisme par des dirigeants tyranniques, nous appelons cela de la « torture électrique », écrivent ces deux auteurs, «Toutefois, un courant électrique appliqué au cerveau dans les hôpitaux publics et privés par des psychiatres professionnels est appelée thérapie.»Aux États-Unis, 92% des psychiatres refuse d’utiliser les ECT. Et la « thérapie »est utilisée par une minorité de psychiatres dans d’autres pays.
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justice et électrochocs

650 000 dollars pour la victime d’électrochoc
traduction google :
En Juin 2005 à Columbia, Caroline du Sud, un jury a décerné 635,000 $ pour une faute professionnelle contre un psychiatre qui a évoqué un patient de traitements par électrochocs. L’hôpital avait déjà été réglée pour un petit montant et le médecin qui a administré le traitement n’a pas été trouvé de négligence. Le demandeur, Peggy Salters, est une ancienne infirmière qui a perdu la mémoire pendant de nombreuses années de sa vie, y compris sa formation professionnelle et l’éducation de ses enfants. Ses capacités cognitives restent pour de nouvelles facultés d’apprentissage ainsi. Mme Salters vu le Prix du Jury comme une victoire pour toutes les victimes de l’électrochoc. Il est probablement le premier Prix du jury dans un électrochoc cas de faute professionnelle. Le fait que le médecin a été retrouvé par négligence mai encourager une plus grande prudence de la part des médecins qui se réfèrent leurs patients à des médecins de choc « pour le traitement. Dr. Peter Breggin a été l’expert médical au nom de Mme Salters.

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livres

L’électrochoc du professeur peter Breggin
Ses effets invalidants sur le cerveau
En 2006, dans les hôpitaux psychiatriques des pays francophones, des milliers de personnes subiront (encore) des électrochocs et seront (toujours) privées de leurs droits fondamentaux. Dans l’indifférence générale, parce que l’opinion publique n’est pas informée.  » Soigner à tout casser « , qui paraît aux Editions Bernard Gilson, associe des témoignages de première main, très précis, à une analyse rigoureuse basée sur la littérature scientifique mondiale la plus récente. Les auteures – médecin spécialiste, docteure en Sciences ; licenciée en philosophie – examinent les justifications et le sens des pratiques de la psychiatrie lourde sous l’angle médical, éthique, social, au cours des dernières décennies. Victimes elles-mêmes des traitements de choc de la psychiatrie lourde à l’âge de dix-sept ans, elles réalisent ici une synthèse originale, et ouvrent des perspectives alternatives.  » Soigner à tout casser, la dignité de la personne à l’épreuve de la psychiatrie lourde « , par Véra Netelzang et Clara Frost, éditions Bernard Gilson, collection Réflexions dirigée par Elisa Brune
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Campagne internationale pour l’abolition des électrochocs (CIEA)

Campagne internationale pour l’interdiction des électrochocs (CIEA)

pétition internationale

icbebanneruse21

a woman undergoing electroshock

 Votre voix compte et peut faire une différence.

 Sue dit la psychiatrie est la plus grande fraude médicale en cours aujourd’hui.



Crila is a professional photographer from Montreal.  See Crilaphoto.com

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Décès

2.2.1. Décès
Les risques de décès ne sont pas négligeables malgré les polémiques sur leur nombre et leur cause. Ils vont pour le même pays, les USA, de 1 par 10 000 patients selon la American Psychiatric Association and Task Force (5) à 4,5 par 10 000 séances selon la conférence de consensus de 1985 (7). Le manque de suivi des patients traités aux électrochocs, la non obligation d’enregistrement du décès en lien avec l’administration des électrochocs et la polémique sur la causalité (ECT ou anesthésie entre autres) permet de supposer que ce nombre est bien en deçà de la réalité. Dans une étude publiée en 1998, Reid et al (31) citent le nombre de 8 décès sur 2583 patients traités entre septembre 1993 et avril 1995, soit environ 3 pour 1000 ; dans d’autres études plus anciennes (32, 33), le taux global est de 1 pour 1000 mais peut atteindre 1 pour 200 chez les personnes âgées. Des décès après une seule séance d’électrochocs ont aussi été signalés (34, 35, 36).Les risques de décès ne sont pas négligeables malgré les polémiques sur leur nombre et leur cause. Ils vont pour le même pays, les USA, de 1 par 10 000 patients selon la American Psychiatric Association and Task Force (5) à 4,5 par 10 000 séances selon la conférence de consensus de 1985 (7). Le manque de suivi des patients traités aux électrochocs, la non obligation d’enregistrement du décès en lien avec l’administration des électrochocs et la polémique sur la causalité (ECT ou anesthésie entre autres) permet de supposer que ce nombre est bien en deçà de la réalité. Dans une étude publiée en 1998, Reid et al (31) citent le nombre de 8 décès sur 2583 patients traités entre septembre 1993 et avril 1995, soit environ 3 pour 1000 ; dans d’autres études plus anciennes (32, 33), le taux global est de 1 pour 1000 mais peut atteindre 1 pour 200 chez les personnes âgées. Des décès après une seule séance d’électrochocs ont aussi été signalés (34, 35, 36).

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témoignage

Certains ici le savent , ma soeur est au bout du rouleau , intoxiquée par tous les médocs qu »elle a ingurgité pendant 40 ans .
Elle n’est pas trés agée (65 ans ) et moi même, bipolaire sous dépamide je crois bien connaitre tout ce qui est possible et innimaginable en matière de médicaments pour « soigner !  » la bipolarité .
En dernière chance les psys lui ont prescrits des ECT qui ont fini de la bousiller …
Le verdict est tombé hier , elle est devenue sénile .
Je préfère vous passer les détails .
Nous nous démenons pour trouver une maison de retraite qui veuille bien l’accepter dans son état .
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Témoignage

Bonjour,
J’ai été traitée par électrochocs il y a un an.  Depuis, non seulement mon état psychologique ne s’est pas amélioré, mais j’ai oublié des années de ma vie et encore maintenant je souffre d’amnésie antérograde.  Je regrette vraiment avoir accepté de suivre ce traitement.

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Témoignage

je me nomme Cynthia et j’ai 24 ans. Il y a 6 ans, j’ai recue 16 electrochocs. Depuis ce temps, je vois que je ne suis plus la meme qu’avant…je ne peux plus me concentrer, j’ai des problemes de memoire, bref, je crois que cette barbarerie a modifie a jamais le reste de mon existence. Je ne vois plus la vie de la meme facon, car je suis tres passive et negative. Je compte trainer mon psychiatre en justice et le faire payer pour tous les dommages qu’il m’a causes en me donnant cette TEC . Il m’a dit que c’etait bon pour moi, mais bien sur, il a OMIS de m’informer de tous les effets secondaires…Je souhaite que cette pratique soit a jamais rayee de la psychiatrie…
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témoignage et censure

Un simple petit mot pour vous dire que certaines coupures dans un reportage peuvent faire beaucoup de différences.À savoir que la personne interviewée:
ne recommencerais jamais les électrochocscoupé au montage!
vit encore avec certaines séquelles au niveau de sa mémoirecoupé au montage!
la durée exacte, 2 ans pour se décider à recevoir des électrochocs… 7 ans pour se remettrecoupé au montage!

Comme je ne tiens pas à refaire l’émission pour vous, je tenais minimalement à clarifier que cette dame a perdu beaucoup (enfant, maison, mari …)
Et à la limite, je trouvais important de vous dire qu’il faut relativiser ce qui est montré lors de l’émission!

http://agidd-smq.forumactif.com/Salles-d-etudes-c3/Electrochocs-f7/Emission-electrochocs-t130.htm

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témoignage : Donnadieu jean-pierre

En janvier 1968, à l’âge de 22 ans, j’ai demandé mon admission au Grand Orient de France, qui, le 25 juillet 1968, m’a envoyé une lettre positive et chaleureuse. L’admission n’a pas eu lieu. Le 15 mars 1969, M. Cavanhié, le responsable du Grand Orient chargé de mon dossier, m’a accusé de l’avoir menacé . Il a persuadé mes parents et a pris rendez-vous pour moi à une consultation de l’hôpital psychiatrique à la date du 1er avril. C’était un piège et je suis resté enfermé du 1er avril au 23 mai 1969, soit 53 jours pendant lesquels on m’a détruit totalement. On m’a obligé de subir dix séances d’électrochocs. Je suis sorti de l’hôpital malade, inapte à tout travail et programmé pour le suicide.

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témoignage

Bonjour,
S’i l vous faut un témoignage je vais vous en donner.
On m’ a fait des électrochocs quand j’ avais 15 ans pour risque vital suite à une anorexie. On m’ a enfermé dans une chambre capitonée. Le contexte familial était compliqué, mon père avait eu un accident un an aupravant qui l’ a rendu handiccapé, mes parents se sentaient impuissants mais ils avaient une bonne couverture mutuelle la mutuelle civile de la Défense. Le mèdecin de généraliste a donné le nom de l’ établissement à mes parents, je ne savais pas s’ il était au courant de ce qu’ ils pratiquaient la bas alors que je n’ avais que 15 ans.
Au début j’ étais juste anorexique, pendant mon internement je me souviens avoir été gavé de médicaments que je prenais par poignées, au poids de 32 kilos et à l’ age de 15 ans je ne pouvais pas tenir avec de telle dose de médicaments et en plus l’ effet des médicaments avient pour effet de me maintenir toujours en éveil, je ne dormai plus, la proximité avec des très grand malade a fini par m’ être néfaste et je me suis faite abuser par d’ autrres patients dont une particulièrement.
Vu que je refusai de manger, devais je avoir l’ appétit dans un milieu aussi morbide? A vous de me le dire.
De bonne constitution à la base heureusement.
On m’ a fait des électrochocs et on m’ a enfermé dans une chambre capitonée comme si une filette de 15 ans et qui pèse 32 kilos pouvait mériter un tel traitement dde faveur.
Je témoigne que j’ ai été victime d’ un acte médical pour des buts financiers, mes parents ont été duppé et mal informés car ils étaient umpuissants et en plus de condition sociale modeste.
Aujourd’ hui on m’ a déclaré borderline le peu de fois que je suis allée voir le psy car curieusement ces pratiques ne me conviennent pas du tout. Je suis demandeur d’ emploi et en rupture familiale, mes relations sont chaotiques, dès que je parle de l’ électrochocs je ressens du préjugé et du rejet chez les gens. Les psychologues eux même peu informé sur ces pratiques. J’ avoue que les psychologues que j’ ai vu dans des centres pour jeune m’ ont aider dans le sens ou ils m’ ont aider à prendre de la distance avec les codes sociaux et j’ ai appris à analyser, mais aujourd’ hui j’ affirme que ma vie est une véritanle souffrance. J’ ai un questionnement tant qu’ à mon fonctionnement intellectuel surtout mathématiques. Avant qu’ on me fasse les les électrochocs, j’ avais 16 de moyenne générale, j’ étais en seconde et j’ avais 15 ans. Aujourd’ hui je doute complètement de moi. Mon objectif était de poursuivre des études, je ressens un sentiment de viol mais aussi d’ injustice et ma colère est prête de s’ éteindre car j’ ai forgé le principe anti électro chocs en dogme, je suis prête à soutenir toutes les personnes qui en ont été victimes car je trouve ces pratiques indignes. Je déconseille aussi les gens à accepter qu’ on leur fasse. Une personne faible et fragile et surtout une femme est susceptible de laisser embobiner et je vous préviens qu’ après ce n’ est pas plus facile. Il n’ y a qu’ une solution pour se sentir mieux, faire un travail sur soi et faire un travail en famille, si pas possible s’ en détacher et se faire aider par des etres humains et non par des techniques barbares.
Mes parents croyaient qu’ on me sauverait mais au fil des années ils se sont rendu compte que je ne peux suivre de scolarité difficilement. J’ ai des problèmes d’ argent et eux ils souffrent de me voir comme ça.
Aujourd’ hui je n’ ai qu’ une idée en tête, faire cesser ça et démontrer par les techniques d’ imagerie cérébrale des électrochocs provoquent des liaisons cérébrales irréversibles, qu’ il n’ y a aucun suivi de la famille et de l’ entourage du patient et que ce n’ est pas une solution pour soigner des adolescents mais qu’ on leur prive de leur jeunesse et que ces personnes méritent des dédomagements.
http://www.vulgaris-medical.com/forum/s13611-sismotherapie-electrochocs-temoignages.html
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témoignage

salut à tous ! j’ai 45 ans et j’ai eu des electrochocs etant plus jeune pour un etat depressif et paronoiaque mais je n’est jamais ete schizophrène, alors la question est pouquoi à t’on influencé ma famille pour qu’ils m’en fasse ; à l’epoque c’etait le remède miracle il parait! maintenant je n’ai pratiquement plus de souvenirs de mon passé ou quelques flashs qui reviennent de temps en temps ; Grosses dificultés pour m’exprimer en general je cherche mes mots , donc plus de memoire verbale et plus de memoire vusio-spaciale et je vous en passe ; J’avais 28 ans et j’ai été gueri c’est sur tous mes souvenirs ont ete efacés « on ne peu que guerir  » de cette facon là ! mais à quel prix! Je vous remercie pour tous vos temoignages et je vous evoie un lien tres instructif! les medecins m’on prescrits des medicaments à vies à des doses de cheval et j’ai reussi à m’en debarrassé petit à petit sans leur accords mais maintenant ils me disent que je vais beaucoup mieux !! Je vous souhaite bon courage à tous et evités les electrochocs ou narcoses , je crois qu’il y a d’autres solutions maintenant le prix à payer est trop fort physiquement et certains medecins ne jurent que par ça car , pour eux c ‘est plus pratique, plus facile et surtout ces traitemments sont très cher ! du moins ils l’etaient; j’ai aussi pas mal de conplications respiratoires mais c’est surtout pour parler couramment que ce situe le probléme! au revoir !
http://www.actionautonomie.qc.ca/parechocs/pdf/dernargumen.p df
 
http://www.e-sante.fr/fr/forums_sante/electrochoc__solution-7351-44-1-3.htm
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témoignage

« Il est vrai qu’en d’autre temps, sous le régime socialiste de Mitterrand, on a bien fait interner cet ancien Contrôleur d’Etat de la CNAM, Inspecteur des Finances, Jacques Verne. Il a été réduit a l’état de légume sur ordre. Il a été interné et soumis ensuite à 9 traitements à l’électrochoc pour détruire sa mémoire, comme dans les GOULAGS soviétiques. Il avait découvert des marchés bidons à la CNAM. Il s’intéressait de très près à la ville de Montpellier, »
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témoignage

je m’appelle judith et il y a quelques mois j’ai subi des seances d’ect en raison d’une depression majeure non vaincue par les autres traitements…S il est vrai que mon etat s’st amélioré, j’attire votre attention sur le fait que je suis victime d’amnesie totale concernant pplusieurs mois de ma vie ( periode des ect)…Je n’ai pas souvenir de mon etat, des personnes que j’ai connu alors ni de ce que j’ai pu faire alors…Cela fait deja lusieurs mois et lorsque je lis des articles sur les ect il n’y figre que des « petits trous de memoire qui e durent pas »??Je peux temoigner que c’estfaux…Je ne pense pas ue la memoire perde reviendra un jour…J’ai en outre un sommeil tres agité avec de violents spasmes et des cris…Je n’ai plus l’impression d’avoir sommeil du tout et je m’endors d’une seconde à l’autre sans eprouver de phase d’endormissement..Je suis sure que cela est lié aux ect…n’hesitez pas à me contacter si vous avez des questions!merci a judith pour son témoignage

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témoignage

« A vos soins ! ». (Des électrochocs en guise de soins.) Mme Ch. H., le 6/4/2008.

Je vous écris suite à notre entretien téléphonique pour vous apporter mon témoignage sur les 16 à 18 séances d’électrochocs que j’ai subies. J’ai été internée par ma mère pour la première fois fin 1999. Je pensais être enceinte et faire une fausse couche. Je me suis donc rendue aux urgences d’un hôpital général. J’ai toujours travaillé et vécu la nuit, ce qui n’a jamais vraiment plu à ma famille. Une fois à l’hôpital j’ai exposé ma crainte d’être enceinte. Les médecins m’ont fait une prise de sang. Je ne l’étais pas. Je ne sais pas comment, mes parents habitant à l’autre bout du pays, ont été contactés. C’est ainsi qu’on m’a jugé délirante, et que ma mère a signé ma première HDT. On m’a donc piquée et attachée et j’ai été transférée en hôpital psychiatrique pour une journée, où on m’a largement droguée avec des neuroleptiques, des calmants … etc. J’ai été diagnostiquée schizophrène. Je ne voyais quasiment jamais le médecin, et je vivais dans des conditions d’hygiène insalubres avec un traitement inhumain et dégradant. Je suis restée dans cet hôpital psychiatrique des Bouches du Rhône jusqu’au début de l’été où, un jour, le médecin m’a annoncé que j’étais transférée à Paris. J’étais heureuse, je me suis dit « Chouette, enfin la liberté ! » ! En fait ma mère m’avait faite transférer dans sa proximité. Je ne savais pas que le reste était à venir. Je me suis donc retrouvée à Ste Anne en service fermé. Là je n’avais pas un médecin invisible, mais un staff d’environ 5 à 10 personnes qui venait dans ma chambre, me posait un tas de questions, et m’humiliait, alors que j’étais peintre, et diplômée en arts plastiques. Très rapidement on m’a dit que j’allais subir des sismothérapies ( : électrochocs avec anesthésie), à raison de 16 séances. J’ai dit que je n’étais pas d’accord, mais ma « chère mère » avait donné son accord et signé, et on m’a clairement dit que je n’avais pas mon mot à dire. Je vais vous décrire le déroulement de ces 16 séances de sismothérapie, mais sachez que j’ai, depuis, perdu une partie de ma mémoire et que je suis toujours traitée de force pour schizophrénie, sans que cela me fasse avancer au contraire. J’ai donc d’affreux trous de mémoire dus aux sismothérapies. En ce qui concerne certains détails, j’avoue qu’il y a des choses qui m’échappent, mais je vais essayer d’être la plus précise possible. Je crois que j’avais environ une à deux séances par semaine. Une voiture de l’hôpital venait me chercher pour aller dans un autre secteur. Je me demande si ce n’était pas un moyen pour éviter que je ne m’échappe. On m’escortait donc comme on emmène un détenu, en salle d’attente. J’étais stressée, triste, désespérée. La salle où se pratiquaient les électrochocs était contiguë à la salle d’attente. L’attente était toujours infernale, car je savais ce qui m’attendait. Je rentrais dans la salle. On me mettait une série de ventouses. Je ne me souviens pas des médecins car ils étaient tellement froids et sans aucun tact. Ensuite on me mettait un masque, puis on m’injectait un produit anesthésiant. Je crois que « le traitement » comme ils l’appelaient, durait très peu de temps. Mais de mon côté je me réveillais en pensant être restée des heures, alors que cela ne durait que 10 à 15 minutes. A mon réveil, je ne savais plus comment je m’appelais ni qui j’étais. Pour le coup je perdais réellement les pédales. En fait je perdais ma mémoire immédiate. J’oubliais tout. Je ne reconnaissais plus les personnes, oubliais les prénoms … etc. On m’a certifié que cette perte de mémoire était ponctuelle. Or, au jour d’aujourd’hui, j’ai de gros vides dans certains souvenirs de ma vie. La seule chose que je n’ai pas oubliée c’est que je n’ai jamais déliré et que j’ai été torturée pour rien.

http://antipsychiatrie.spaces.live.com/blog/cns!93052E2D3DB2234D!172.entry

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témoignage

Eh bien sachez que si je n’ai qu’un seul souhait dans ma vie c’est bien de ne pas  avoir été victime des destructions lié aux électrocutions de mon cerveau par une institution médicale qui devrait avoir honte d’exister.
Comme une femme violée ne va pas se vanter se son traumatisme …Et encore si j’avais eu le choix j’aurais prefere la prison et le viol…Il est difficile de parler de l’indicible.
Je pense que toute les victimes des guerres n’ont pas de mots non plus pour exprimer les dégats causés dans leur chair et dans leur ame.
Tout à commencé alors que je n’étais dans ce monde qu’un adolescent de
16ans dans des questionnements et des doutes.Le souci c’est lorsque vous allez mal sans pouvoir  donner les causes.
-Je vais mal! Mes résultats scolaires chutes! Aidez moi
voila une phrase que je n’aurais jamais du prononcer!
Car ayant toujours été leader et intelligent dans les meilleurs de la classe, plus vif, plus curieux, il paraissait d’autant plus bizarre que ca soit moi qui rencontre des difficultés..
Mais voila tout le paradoxe! comment un jeune brillant, sociable, très intégré par ses amis et plutot model et heureux avec une famille qui apparemment se portait bien peut il chuter vers 16ans.
Alors le souci c’est qu’à l »époque je n’avais pas trop de réponse à part je sais pas. Je suis angoissé, malheureux et j’ai des soucis pour me concentrer.
maintenant j’ai malheureusement les réponses à cet étrange mal etre qui m’avait affecté (j’expliquerai apres pour ceux que ca intéressent)
Enfin bref pour ma famille et moi ca semblait etre un mystere!
Et mon plus grand malheur c’était d’avoir un pere super que j’aimais plus que tout et qui était medecin (car j’ai amalgamé medecine et mon pere). J’ai cru que les medecins étaient des gens biens comme mon pere!
Alors j’étais une cible facile à exploiter pour le coté obscure de la medecine. Un jeune dont le pere est medecin et qui reve secretement de le devenir lui meme. Cela je pense n’aurait pas posé de probleme à l’époque car j’étais de loin le meilleur en biologie et l’un des tout premier en science mais passons …
Me voila dans les mains d’un neurologue qui m’a dit julien faudrait voir un psy et c’est la que je tombe sur le doctor brochier qui profite de ma croyance en la medecine pour me coller tout un tas de maladie plus absurdes les unes que les autres mais à l »époque je le crois.
Je me retrouve donc drogué de cachets prescrits par ce charlatan puis il me persuade que je suis gravement malade que je dois arreter les etudes bref me voila cachetonné descolarisé…
Le comble lorsque l’on sait que je ne voulais juste qu’une aide pour ma scolarité en fait mais je reconnais que j’ai pas réalisé à l’époque.
Entre temps j’ai fait une chute à cause des medicaments ou j’ai failli mourir… dos brisé poignets broyé…
l’horreur commencait deja mais ce n’était que le début d’un parcours surréaliste!!
puis une clinique pédopsy a pris le relai ( ma mere avait vu une emission ) bref me voila descolarisé cassé et maintenant loin de ma famille à paris entouré de medecin dans une clinique psy qui aurait du soi disant m’aider à reprendre ma scolarité.
Alors la le cauchemare devient totalLe doctor OUVRY qui était sensé etre responsable de moi se retrouve en oppposition avec le doctor brochier qui m’a
vait propulsé dans ce début d »enfer.
Et la pour mon plus grand malheur une contre expertise est demandé à la salpetriere au professeur ALLILAIREj’insiste sur les noms car ses gens ont brisé mon ame et ma vie.
la querelle consistait entre OUVRY plutot sympa qui ne voyait qu’un passage difficile d’ado, brochier qui me prenait carrement pour un schizo alors que j’ai jamais eu de souci au niveau de ma conscience et de ma personalité. Finallement cet ……. d’allilaire a tranché pour une melancolie en gros une grosse depression voir plus pour ces cinglés de la psy!!
Si on en était resté la passe encore mais c’est la que allilaire me fait subir des sismo alors que je n’ai que 18ans que ouvry est contre !!!
je me rapelle juste de la 1ere de mon reveil sans savoir comment je m’appellais qui j’étais ce que je faisais la. Juste une horrible angoisse et une main pour me rassurer celle d’une infirmiere…
Apres les autres se sont enchainés sans que je puisse me defendre
il parait que j’en ai eu 7 ou 8 selon mes parents ca je ne pourrais jamais le dire car ma memoire etait hs des la 1ere
Je suis reparti detruit le cerveau détruit. Tout ce que j’avais construit en eleve dans ma scolarité tous mes souvenirs ils m’avaient tout pris!!
Comment peut on faire ca à un homme…
Si j’vais le choix aujourd’hui je prefererais que l’on me brise les bras et les jambes au marteau mais qu’on me laisse mon ame et mon cerveau en paix !!
Apres cela l’eleve brillant est devenu un légume.Mes espoirs d’
embrasser une belle carriere de medecin disparus.je ne pouvais meme plus prendre le metro m’orienter ou composer un numero je ne savais meme plus lire!!
j’ai juré de me suicidé apres ca mais je n’avais pas le courage aussi j’ai décidé de me laisser un peu de temps pour voir si je pouvais réappprendre tout
J’ai essayé de lire des bd pour réappprendre à lire. Je me suis mis au piano et pendant des années deul j’ai essayé de me reconstruire.
Le cerveau cicatrise qd meme un peu et à force de travaillé sans relache j’ai récupéré un niveau correct.
Mais malgré tout ce que j’ai fait pour m’en sortir, je n’ai pu réaliser aucune de mes ambitions. J’ai qd meme repassé un bac avec mention et fait un cursus d’étude superieur de prof. Mais aujourd’hui je suis rempli de tristesse de part ce parcours hallucinant, je fais un metier que j’aurais jamais eu l’idée d’exercer jeune si j’avais pas connu ces mes aventures.
Il est probable que sur le long terme je survive pas à ce parcours inhumain dont je fus le spectateur malheureux et la victime aussi protégez vous !!
Si vous croyez que les souvenirs font mal, que votre passé vous hante et que vous etes pret à tout pour vous en sortir sachez que le moyen le plus douloureux pour finir quasi assurement au cimetiere sur le long temr ce sont les sismo!!
je ne peux vous dire plus qu’il n’existe pas d »équivalent de torture sinon en temps de guerre et encore j’aurais prefere quelques coup de couteau ou violence physique que cette atrocité.
En esperant que ce témoignage sauve des enfants et des aldultes.
Aucune souffrance psychologique ne peut justifier les sismothérapies.
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Témoignage : « À CAUSE DES ÉLECTROCHOCS, MOI, JE ME SUIS PENDU ! »

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témoignage

Ernest Hemingway, écrivain, prix Nobel, se suicida après avoir terminé un traitement aux électrochocs.

Témoignages recueillis lors des manifestations devant les hôpitaux françaisUne dame de 50 ans déclare avoir subi des ECT il y a quelques années. « J’étais jeune, environ 20 ans, j’ai dû faire face à une déception amoureuse. J’étais malheureuse. J’ai attéri chez un psychiatre. C’était horrible : tous les matins on venait me chercher pour la séance d’électrochocs. Cela a duré des semaines. Inutile de vous dire que quand je suis sortie au bout de plusieurs mois, j’étais vidée. J’ai eu un mal fou à avoir une activité salariée. Aujourd’hui soit des années après, je souffre de migraines permanentes et violentes sur la moitié droite du crâne. »

Témoignage de Maïté L. Elle fait une dépression nerveuse suite à une déception sentimentale.Elle entre dans une maison de santé privée pour une cure de sommeil. Cependant, elle a toujours des insomnies. Le docteur affole ses parents qui l’amènent à Sainte-Anne. En deux mois, elle a 14 électrochocs sous anesthésie et contre son gré. Alors qu’elle était professeur de philosophie et parlait trois langues, elle se rend compte qu’elle ne parle plus que le français. Ses pertes de mémoire sont énormes. Elle ne se rappelle plus de grandes périodes de sa vie. De plus, elle a perdu tout sens de l’orientation et se retrouve souvent dans une direction opposée de celle où elle voulait aller. Son élocution est aussi très lente. En revanche, elle a toujours ses insomnies.

Témoignage de Claire M. Son mari la trompe. Il veut se débarrasser d’elle et la fait passer pour folle. Elle est internée dans un hôpital psychiatrique et tente de s’en échapper. Mais elle est rattrapée et l’électrochoc est utilisé comme punition. Voici le témoignage de ce moment: « … c’est alors que les infirmières en branle bas de combat m’ont attachée au lit et que l’une d’elle a pratiqué une seconde anesthésie. Les jours suivants, je me suis éveillée et je constatais des marques bleues sur tout le côté droit, le bras puis la main complètement paralysés. Je ne pouvais parler, je ne me souvenais plus de rien » .Après sa sortie de l’hôpital psychiatrique, elle dit, en parlant de son mari qui avait obtenu ce qu’il voulait:  » Michel pouvait délibérément conduire sa nouvelle vie sans crainte aucune. J’étais amnésique ! »

http://agidd-smq.forumactif.com/electrochocs-f7/dossier-electrochocs-t227.htm

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Le jour où… J’ai subi des électrochocs de force. Par Danièle Evenou

Ces séances d’électrochocs lui ont provoqué des troubles de la mémoire dont elle souffre encore aujourd’hui.

Propos recueillis par Julien Jouanneau

J’ai commencé à souffrir de spasmophilie vers 23 ans. Un syndrome aux manifestations infernales : palpitations, angoisse irraisonnée, sensation de perte de connaissance, douleur dans la ­poitrine, crispations, contractures, impossibilité de marcher… Bref, l’impression de mourir. Mais en 1972, personne ne peut encore nommer ce mal tapi dans l’ombre. Les médecins me mettent alors sous ­antidépresseurs, qui me ­métamorphosent en totale zombie pendant les répétitions au théâtre, et aggravent mon cas. Personne n’est au courant, mais, chaque soir, je dors à l’hôpital. En désespoir de cause, je finis par écouter les conseils de quelqu’un qui me suggère un « nouveau traitement ». Une ambulance vient donc me chercher un soir après une télé. Une voiture nous suit, conduite par Didier, un homme repoussant mais extrêmement gentil, qui me fait la cour depuis des lustres.

J’arrive dans une espèce de maison de santé en région parisienne, avec un immense parc parsemé de petits pavillons. Je croise des personnes en charentaises qui déambulent lentement, la tête baissée, ou qui offrent un regard transparent. Une atmosphère digne des films « Family Life » et « Vol au-dessus d’un nid de coucou ». Je loge dans une petite cellule, avec un judas, des grilles, pas de cintres dans l’armoire. Impossible de s’échapper ou de se suicider. Je plonge sur le lit tel un arbre abattu. Dès le premier jour, un homme entre, blouse blanche et lunettes demi-lunes, qui pousse lentement et en silence une petite table ­roulante. Il brandit une seringue comme un poignard. Une piqûre brutale dans le bras et je baigne dans le sommeil. Je me réveille ­assommée, dans un état second, avec un mal de tête monstrueux. Une barre de fer brûlante m’écrase le cerveau et me frappe le crâne. Je hurle. La douleur est lancinante. Le médecin entre à nouveau, avec sa seringue. Cette fois, je m’extirpe de mon lit, tente de fuir. Mais la porte est condamnée ! Le miroir de la chambre reflète mon visage ­méconnaissable : une bosse sur le front, un pansement, une constellation de bleus. Je me roule en boule dans un coin de la chambre. Je me débats, mais des infirmiers m’étendent sur le lit. Une main m’écrase un coton imbibé de ­chloroforme sur le nez.

Je me réveille une nouvelle fois, je ne sais combien de temps plus tard, avec toujours les mêmes douleurs abominables dans la tête. Je la cogne contre les murs, au sens propre du terme. La douleur
s’accroît. Cette fois, je souhaite tout simplement mourir. Je crie, j’appelle mes parents à l’aide. C’est mon ­erreur : je n’ai prévenu ­personne. Tout le monde ignore où je suis, à part Didier, qui me rend ­visite tous les jours, heureux. Pour lui, la situation est idyllique, je suis devenue sa chose. Quand il part, je me jette encore contre le coin de la cheminée, pour calmer le mal. J’entends un léger bruit derrière la porte, puis un regard fixe, froid, impitoyable, à travers le judas qui se referme aussitôt. Troisième séance d’électrochocs programmée ; je ne me débats même plus. Nouveau réveil, infernale rebelote. Je ne suis plus qu’une poupée de chiffon. Au réveil, du magma en fusion inonde mon ­cerveau. Cinq autres séances ­suivront à une ­cadence similaire. Dehors, Jacques Brel et Paul ­Andréota sont les premiers à s’inquiéter. Ils ­finissent par me ­retrouver après avoir forcé ce Didier à révéler l’endroit de mon calvaire. Quand ils pénètrent dans la chambre, mon état physique délabré les scotche sur place. Ils vont voir le médecin et reviennent. Mais ils ne peuvent rien faire, car je suis ­majeure ! Moi seule peux signer le bon de sortie ! Si j’avais su… !Alors, je fais croire au médecin que ces électrochocs m’ont fait du bien, que je me sens mieux. Le ­papier à signer se trouve dans un autre bâtiment, à l’autre bout de la résidence. Tout un jardin à traverser. Je sue à grosses gouttes, la gorge sèche, l’impression de m’enfoncer dans la terre. Je dois ­maintenir le cap vers ce petit ­pavillon… Enfin, je paraphe en tremblant le papier. Je suis libre.
http://www.parismatch.com/People-Match/Cinema/Actu/Le-jour-ou-J-ai-subi-des-electrochocs-de-force.-Par-Daniele-Evenou-67796/

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témoignage du docteur reg Peart (président de VOT)

Un compte de la dépendance aux benzodiazépines Foreword Préface
Ce compte contient peu plus que le «Bare Bones » de plus de 50 ans de ma vie. Il comprend plus de 16 ans d’un traitement médical, en utilisant les benzodiazépines pour traiter les nombreux effets secondaires causés par les benzodiazépines, résultant de l’admission dans les hôpitaux psychiatriques, la perte de carrière, le mariage, la famille, du domicile et de déficience intellectuelle sévère.
J’ai essayé de mettre l’accent sur trois domaines clés –  Misprescribing, erreur de diagnostic et de mauvais traitements – qui sont des éléments communs dans la plupart des comptes de la dépendance aux benzodiazépines.
Un jour, en 1969, j’ai été conduite à ma ville de Reading, en Angleterre.  pour la première fois depuis de nombreuses années, lorsque j’ai décidé de prendre contact avec mon médecin de famille, qui a pris un intérêt dans ma vie et de carrière.  C’est sous l’impulsion du moment décision radicalement changé ma vie et celle de ma famille.

J’ai eu récemment retournée en Angleterre par les États-Unis, où j’ai travaillé pendant 8 ans en tant que physicien de l’Université de l’Illinois et de recherche IBM dans l’État de New York.Entre l’école et mes années universitaires, j’ai passé une année de travail à Harwell, l’Atomic Energy Research Establishment, où mon intérêt pour la physique nucléaire a été stimulée.  J’ai assisté à l’Université de Reading, où j’ai obtenu un baccalauréat ès sciences en physique et un doctorat en physique Atomics.

Après une période de deux ans de recherche post-doctorale, j’ai été mariée et a pris un rendez-vous à l’Université de l’Illinois.Depuis sa plus tendre enfance, j’ai eu des liens étroits avec mon église locale, être très actif dans la chorale, activités sociales et sportives. Plus tard, je suis devenu un membre du conseil de paroisse et le Synode diocésain.

Bien que beaucoup de mes premières années sur le Valium est flou, je peux, avec le recul, de détecter la lenteur et la nature insidieuse de Valium dépendance.  Je me souviens de la perte de mémoire à court terme et à des problèmes de concentration qui ont une incidence sur mon travail.  (A mon retour en Angleterre, j’ai pris un poste avec un International Electronics Company, dans le domaine de la physique des semi-conducteurs). Bien que j’avais publié plus de 30 articles scientifiques, j’ai eu du mal à rédiger des travaux récents et, après plusieurs promotions, j’ai demandé à être déchargé de certaines de mes responsabilités. . socialement, l’abandon de mes liens avec l’église et le sport.  Un changement marqué dans ma personnalité et de caractère au cours de quelques années, accompagnée par une série de problèmes physiques, ainsi que l’anxiété et les crises de panique.

En 1974, mon médecin arrêté la prescription de Valium du jour au lendemain, et en 5 jours, j’ai été admis dans un hôpital psychiatrique privé pour ce que je sais maintenant être un sevrage brutal.  J’ai été initialement diagnostiqué comme schizophrène et, pour la période 1974-1976, j’ai passé plusieurs périodes dans cet hôpital, de recevoir diverses thérapies, y compris en continu narcose, et environ 25 séances d’ECT.

À la fin de cette période, on m’a demandé d’accepter la redondance de mon travail, pour des raisons de santé.  La seule explication donnée à ma femme et moi, est que j’ai eu une dépression nerveuse.  Au cours des 10 années suivantes, il m’a été prescrit le diazépam (Valium), chlordiazépoxide (Librium), le nitrazépam (Mogadon), témazépam, prazepam, un large éventail de plusieurs antidépresseurs et des neuroleptiques.

J’avais essayé plusieurs fois de ressusciter ma vie professionnelle, y compris une période en tant que professeur dans l’éducation de base des adultes, mais sans succès.Sans surprise, ces événements ont eu un lourd tribut à mon mariage, ce qui donne un mariage séparation. Ma femme a également été prescrit Valium et est devenu dépendant d’eux pour plusieurs années.
J’étais à ce moment-là de prendre 100 mg de Valium par jour, toutes les prescriptions, et ma santé physique et mentale s’est considérablement dégradé et après l’échec d’une tentative de relancer notre mariage, j’ai donné mon travail à temps partiel et a obtenu un divorce.

Après le divorce en 1981, j’ai encore plus isolés et les déplacés de la région des Midlands à Bournemouth, sur la côte sud de l’Angleterre, où je connaissais personne. Après un certain temps, j’ai demandé l’aide d’un médecin local, qui a immédiatement arrêté mon offre de Valium dans quelques jours.  Dans les 2 semaines, j’étais encore dans le sevrage et admis dans un hôpital psychiatrique où j’ai été menacé et fait chanter en ayant ECT.  J’ai appris plus tard que les documents ont montré que je n’ai pas signer un formulaire de consentement et que le diagnostic de graves sympômes de sevrage auxbenzodiazépines  a été effectué, suivi d’une note pour le TCE à être donné.

Les cinq prochaines années ont été un cauchemar de plus de benzodiazépines, antidépresseurs et autres médicaments. Chaque jour est un énorme effort pour parvenir à la base de la vie. J’ai vécu moi-même et avec l’aide de l’ex-collègues, ont réussi à obtenir un poste subalterne dans une université de recherche en laboratoire, en pensant que le retour à l’amour de ma vie « pourrait m’aider à« normale »de la vie.  Ce, avec le recul, prévisible, s’est terminé en catastrophe.  Je travaille loin de chez eux au cours de la semaine et reviennent le week-end à Bournemouth, nécessitant de plus en plus de médicaments pour éviter les symptômes de sevrage, obtenu facilement sur les ordonnances répétées.

En avril 1985, j’ai été refusée une ordonnance sans donner d’explication.  J’ai été plus tard pour le savoir, parce que d’un service national de santé limité prescription liste, prazepam n’est plus disponible. . Alors, encore une fois, j’ai subit un sevrage brutal et me suis retrouvé dans une unité psychiatrique, de remettre sur les médicaments et, après un rapide sevrage de deux semaines  j’ai été renvoyé chez moi.

Les six mois suivant sont un flou complet, je sais maintenant que je vais dans et hors de fugue Etats (semblables à des pannes d’alcooliques).  J’avais déjà eu une crise d’épilepsie et ces pays sont connus pour être associés avec les activités épileptiques dans le cerveau. Heureusement, pendant mon séjour dans un hôpital psychiatrique, j’ai rencontré un conseiller lors d’une étape de traitement 12-Centre, et il a réussi à obtenir mon admission pour une période de trois mois de traitement, qui s’est avéré être le début de mon rétablissement.
Pour les deux premières années, je souffre d’insomnie, l’anxiété, la peur et la panique, avec les très pauvres à court et à long terme de mémoire. J’avais perdu pratiquement toute ma vie et les compétences sociales, et je ne peu assister à l’exception de l’étape 12-rencontres tous les jours.  Ils ont été mon seul moyen de soutien de la profession médicale avait négligé moi. Peu de temps après, je suis sorti de traitement, j’ai demandé à mon médecin pour obtenir de l’aide à la réadaptation, mais la première mention de la dépendance aux benzodiazépines, j’ai été rencontré un mur de face, le regard vitreux silence, et une ouverture de la porte pour indiquer la nomination a été terminée.

Après deux ans dans la récupération, l’anxiété, la peur et la panique niveau a baissé de façon appréciable, mais ma courte et la mémoire à long terme était encore très pauvres.  J’ai été prolongé en passant par les sevrages(une période prolongée, des effets secondaires produits par la drogue) et je trouve difficile de faire face à la responsabilité de vivre dans ma propre maison.  J’ai réussi à faire un peu d’argent par la vente de ma maison et il est devenu un vagabond depuis quelques années, vivant dans des bed and breakfast auberges de jeunesse, avec des amis et avec mon frère et ma famille, à Perth, en Australie occidentale, pour plusieurs longues périodes. . J’ai également pris deux heures de tour du monde de vols, en visitant les différents pays, y compris les États-Unis, Australie, Fidji, Hong Kong et Singapour. J’ai assisté à l’étape 12-groupes dans ces pays et a reçu beaucoup d’aide, de soutien, de soins et d’attention de leur part.

Entre mes voyages, j’ai commencé à ré-étudier les maths et la physique, au niveau O (16 ans) et le niveau A (18 ans) standard.  Je crois que dans cette période, ainsi que de ré-apprendre, je faisais une chose très importante: une nécessaire remise en état et la reprogrammation de mon cerveau. Cela a abouti à une série de la mémoire des inondations en 1989-90, au cours de laquelle ma mémoire à long terme largement retournées. A partir de cette date, ma mémoire à court terme et de la concentration lentement améliorée. . Plus tard, en 1992, comme une partie du contentieux des benzodiazépines, un examen a révélé des déficits neuropsychologiques dans la capacité cognitive dans au moins six domaines. Mon QI à ce moment-là a atteint 120, bien en deçà des pré-benzodiazépine niveau.
Au cours de l’un de mes séjours à Bournemouth, j’ai pris conscience de l’action en justice contre les fabricants de benzodiazépines, qui me rejoint d’abord, avec l’espoir d’obtenir mon dossier médical (plusieurs demandes ont été rejetées par la profession médicale), quand je enfin réussi à obtenir, à mon sentiment d’horreur, il était clair que les médecins prescripteurs de ma dépendance savait depuis le milieu des années 1970, et n’avait pas pour me conseiller ou à ma famille. . Au contraire, plusieurs ont catégoriquement démenti avec des commentaires comme: « Arrêtez de jouer le médecin et de graver vos livres» et «Vous allez prendre le Valium pour le reste de votre vie, si vous voulez être mon patient ». Une lettre du centre de traitement conseillé à mon médecin, qui, je le cerveau a été gravement endommagé, et que le pronostic est incertain.  J’ai vu ce médecin à plusieurs reprises après le traitement, et il n’a pas réussi à me conseiller, ou à ma famille, ou d’offrir de l’aide au recouvrement.

Les Anglais Benzodiazepine contentieux, payés par le Bureau d’aide juridique, a été en proie à de nombreux problèmes dès le début en 1988. Enfin, il s’est effondré en 1993, lorsque le financement a été retirée en 1992, I, et plusieurs autres requérants ont formé les victimes de tranquillisants (VOT), dans une tentative de surmonter l’effroyable ignorance démontrée par de nombreux avocats et des experts médicaux de la nature de la dépendance aux benzodiazépines et ses conséquences.

Nous sommes devenus les plaideurs en personne et combattu par le biais de notre cas, la Haute Cour, la Cour d’appel et la Cour suprême (Chambre des Lords).  Tout comme prévu, notre affaire a été rejetée, et nous sommes maintenant en justice le gouvernement britannique à la Cour européenne des droits de l’homme pour déni de notre droit à un procès équitable.

Mes dossiers médicaux révèlent de plus de 40 effets indésirables de l’ingestion de benzodiazépines.  Aujourd’hui, 15 ans, la plupart des problèmes physiques et cognitives ont disparu ou sont à un niveau qui peut être intégrée dans la vie quotidienne, mais, le temps ne guérit pas les problèmes sociologiques et les pertes.
Même si officiellement pris sa retraite après de nombreuses années, d’être au chômage et au travail, je passe la plupart de mon temps en tant que coordinateur national de VOT.  La nécessité d’une telle organisation ne cesse de croître, parce que, malheureusement, la profession médicale n’a pas appris sa leçon du passé au cours de la prescription de sédatifs-hypnotiques. VOT membres traiter plusieurs milliers de demandes de renseignements par courrier, par téléphone, fax et e-mail. a. et, nous l’espérons, un jour, sera de s’assurer que toutes les autorités, qui sont responsables de ce scandale médical, sont tenus responsables.

Au jour d’aujourd’hui, je n’ai pas rencontré un médecin, qui a le courage et l’honnêteté de me regarder dans les yeux et d’admettre le problème de dépendance aux benzodiazépines, et encore moins de présenter des excuses pour leurs actes.

Il semble que beaucoup ont fait le serment d’Hippocrate sur leurs têtes:  « D’abord ne pas nuire » s’applique désormais à eux-mêmes et  à la profession médicale, PAS AUX PATIENTS.

 

J’ai parlé au médecin, que j’ai eu l’expérience récente des épisodes de vertiges et il m’a prescrit ce que je sais maintenant à Valium. Plus de 16 ans plus tard, j’avais perdu ma carrière, mariage, famille, maison et biens, la vie sur la sécurité sociale dans un Bed and Breakfast l’auberge, avec un âge mental de 10 ans.  j’ai eu quelques problèmes de santé, moins de 10 visites de médecins dans les 35 premières années de ma vie. J’ai représenté mon école, la ville et du comté, à plusieurs sports et participé à plusieurs championnats nationaux d’athlétisme. . J’ai aussi représenté mon université au soccer, tennis de table et l’athlétisme.

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Témoignage

« Ma mère est décédée en 2006 de « mort inexpliquée » 72 heures apres sa première ECT. Elle était une mère géniale.…Le jour du décès de ma mère, sa bague de mariée, selon mon père, a été visiblement substituée par une autre. quant à moi, on m a remis un sac poubelle de 50 litres avec ses affaires dedans en me disant « n envisagez pas de faire un proces, nous sommes protégés par de bons avocats, jamais vous ne prouverez sa mort liée aux ECT, laissez tomber », »

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Avant, ce n’était que des expériences, aujourd’hui, les médecins appellent cela des « soins »

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Enfant torturé par 31 chocs en 7 heures

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Nous voulons l’abolition pure et simple des électrochocs

« Nous voulons l’abolition pure et simple des électrochocs. L’électricité n’est pas une alternative aux médicaments » a lancé en introduction Céline Cyr, militante du comité Pare-Chocs. Hélène Grandbois, engagée depuis de nombreuses années dans la lutte contre les électrochocs, a ensuite lancé un appel à la création d’une journée internationale d’opposition à cette pratique. « Aujourd’hui même, des gens manifestent à Cork, en Irlande, contre l’utilisation des électrochocs. Il faut dire non au traitement inhumain et dégradant et oui à des alternatives humanistes et sécuritaires.»

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En France 200 personnes par jour subissent des électrochocs !

 

«Il est recensé 200.000 actes d’ECT par an en Grande-Bretagne, 100.000 aux États-Unis. En France, il est difficile d’avoir des données chiffrées sur la fréquence d’application de cette thérapeutique. Le nombre d’ECT serait proche de 70.000 par an.»
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Stimulation magnétique transcranienne / SMT : un désastre

« comment le TMS a endommagé mon cerveau »

Un jour, j’ai finalement cherché avec la bonne phrase, et un forum TMS est apparu dans mes résultats avec un fil spécifique sur la perte de mémoire.

Et voilà : il y a des années, quelqu’un avait posté qu’il avait des problèmes de mémoire après avoir reçu du TMS et qu’il ne pouvait même pas se souvenir du nom de sa femme. J’ai continué à lire et j’ai découvert qu’il y en avait beaucoup d’autres comme nous, non seulement avec des problèmes de mémoire, mais aussi souffrant d’autres symptômes physiologiques, notamment de la tachycardie (rythme cardiaque rapide), des engourdissements, des picotements et des brûlures dans tout le corps, un décollement de la rétine et une perte de contrôle du visage. muscles, pour n’en nommer que quelques-uns. Il y avait aussi un thème de dépression nouvelle et aggravée, ainsi qu’une nouvelle anxiété extrême si grave qu’elle avait conduit à un suicide.

Après avoir lu ces histoires, j’ai compris que quelque chose de très mauvais se produisait et était balayé sous le tapis. Ces symptômes étaient dévastateurs, mais ils n’étaient pas divulgués aux patients potentiels. Après des recherches supplémentaires, j’ai découvert que ces types de symptômes et d’événements étaient signalés à la FDA depuis des années . De plus, la FDA elle-même a signalé ces événements aux fabricants d’appareils, mais ceux-ci n’ont rien fait pour en informer les patients. Ils ne sont pas divulgués sur les formulaires de consentement qu’on nous demande de signer ni présentés dans aucune documentation. Ce n’est pas sur les sites Web des fabricants, ni dans les documents fournis aux cliniques qui utilisent les appareils – ni nulle part ailleurs où j’ai regardé.

Soyons clairs : les fabricants sont parfaitement conscients que leurs appareils ruinent la vie de certains de leurs patients, pourtant ils ne les informent pas des risques de cette intervention

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Torture médicale, douleur physique insupportable conduisant au suicide : stimulation magnétique transcranienne, benzodiazépine,  sevrage et akathisie

Je suis le mari d’Ai, Brandon. Certains d’entre vous me connaissent d’autres non. C’est avec le cœur lourd de vous faire savoir à tous qu’Ai début le 6 octobre 2022, s’est suicidée.

Je voulais partager un peu ce qui s’est passé cette année, comme certains d’entre vous le savent un peu mais pas toute l’histoire. Elle s’est battue contre un médicament qui lui a été prescrit pour l’aider, mais a finalement causé plus de dégâts que de bien à la fin. Je pense qu’il est important de sensibiliser les gens à ces médicaments et à ce qu’ils peuvent faire.

Ai a subi une lésion cérébrale qui s’est produite fin 2021 à cause d’un traitement appelé TMS (stimulation magnétique transcrânienne). C’est la cause principale que tout a commencé. Ce traitement prétend ne pas avoir d’effets secondaires, mais il l’a. Cela provoque beaucoup d’effets secondaires, et pour beaucoup de gens qui l’ont fait. Même si cela peut aider certains, la vie de beaucoup de gens est ruinée à cause des symptômes que cela peut causer. Cette blessure cérébrale lui a fait traverser une anxiété massive quotidiennement, et souffre d’une immense insomnie qui ne lui permettrait qu’une heure ou deux de sommeil par nuit. La plupart des nuits, elle n’en avait pas. L’insomnie est devenue le plus grand problème. Nous avons essayé tout ce qui est censé aider au sommeil qui n’est pas un médicament RX. Jusqu’à ce que nous n’ayons plus d’options de comptoir et finalement nous sommes allés voir un médecin du somme Cette voie nous mène sur la voie d’un type de médicament appelé benzodiazépines. Les benzodiazépines sont censées aider avec l’anxiété, l’insomnie, les crises, les troubles paniques, et bien plus encore. Cependant, ils peuvent aussi provoquer une longue liste d’effets négatifs, surtout lorsque vous essayez de vous en débarrasser.

Prendre des médicaments qui sont censés modifier la façon dont votre cerveau fonctionne ne permet pas d’autres médicaments qui peuvent aider à faire beaucoup du tout. Surtout les benzodiazépines, celles-ci vont dépasser toute chose que vous prenez qui affecte le cerveau. Rendre tout autre chose qui pourrait aider le problème, complètement inutile. Ces types de médicaments n’aident pas longtemps pour beaucoup de gens. Ils lui ont apporté un peu de soulagement au début mais ils ont vite commencé à faire de moins en moins. Au point qu’ils n’ont pas fonctionné du tout. Mais la dépendance physique se construit facilement en prenant ce type de médicaments. Les médicaments remplacent le besoin de votre cerveau pour produire du GABA. GABA étant ce qui contrôle votre anxiété, votre peur et votre système nerveux tous ensemble. Quand tu enlèves ça, le cerveau ne sait plus comment produire son propre GABA. Cela fait que votre corps ne sait pas quoi faire et il commence à passer en mode panique. Cela signifiait qu’elle ne pouvait pas arrêter de les prendre sans subir des retraits massifs. Cependant, elle avait besoin d’arrêter parce qu’ils ont cessé d’être efficaces. Il deviendrait de plus en plus difficile de s’en débarrasser si elle ne le faisait pas. Les effets secondaires des sevrages sur ces types de médicaments sont quelque chose que vous ne voulez jamais ressentir. Ai ne voulait pas continuer à les prendre s’ils ne travaillaient pas. Elle voulait essayer d’autres méthodes pour aller mieux qui ne nécessitaient pas de prendre de tels médicaments dépendants. Mais je n’ai pas pu les démarrer jusqu’à ce qu’elle ait complètement arrêté la benzodiazépine. Beaucoup de professionnels de la santé n’ont aucune idée de ce que ces médicaments peuvent faire aux gens lorsqu’ils arrêtent de travailler. Ils pensent qu’il est facile d’arrêter de les prendre. L’aide est donc limitée, et beaucoup de recherches doivent être faites vous-même. Nous avons parcouru Internet pour tous les conseils que nous pouvions trouver. Nous avons fini par trouver des groupes de soutien d’autres personnes qui traversaient des choses similaires ou qui ont réussi à se débarrasser des benzodiazépines elles-mêmes. Ces groupes ont eu beaucoup de conseils sur la façon de réduire lentement ces médicaments. C’est donc ce que nous avons commencé à faire.

Vers les derniers mois, nous avons essayé à plusieurs reprises d’arrêter les médicaments sans réussir. Il a formé un trouble du mouvement appelé Akathisia. C’est là que le corps ne peut s’empêcher de se déplacer constamment, on a l’impression que votre corps est constamment branché à une prise électrique. Ainsi que la peur et la panique tout le temps. Il n’y a pas grand-chose que la personne puisse faire pour le contrôler. Elle a souffert de cela pendant environ 2 mois et demi. Ses jambes seraient si douloureuses qu’elle ne pourrait pas vraiment marcher, mais cela n’a pas empêché l’Akathisia de la faire se déplacer. En plus de ça, elle n’était toujours pas capable de dormir du tout. C’était un enfer pour elle. Elle souffrait jour et nuit sans moyen de se soulager. Constamment fatigué, et constamment souffrant, sans apatite, à peine capable d’avoir une conversation car elle est épuisée. Ça m’a tué de voir la personne que j’aimais souffrir et de ne pas pouvoir faire quoi que ce soit pour aider. J’aurais donné n’importe quoi pour lui offrir un soulagement.

Le 1er octobre 2022, nous avons pris la décision pour elle de rentrer chez elle au Japon avec sa maman. J’ai essayé toutes les options possibles ici aux États-Unis pour trouver son aide. Cela nous a dévastés, mais le chemin de l’aide ici a commencé à se fermer. Nous recevions de moins en moins d’aide de la part des médecins, car ils n’étaient pas en mesure de fournir des solutions. Ils sont donc tous les deux partis au Japon. Elle et moi ne voulions pas nous séparer l’un de l’autre, mais nous sentons qu’il n’y Mais elle a pu voir sa famille après ne pas avoir pu le faire pendant plus de 8 ans. C’était très dur pour elle de partir si soudainement. Elle ne voulait pas quitter la vie qu’elle a construit ici, ses amis, moi, notre chien Iggy. Le plan était que je la rejoigne au Japon le 11 octobre, quand la frontière s’est à nouveau ouverte pour voyager. Et restez là pour aider à réduire les médicaments. Nous allions continuer d’essayer aussi fort que possible pour arrêter les médicaments. Nos options de traitement s’ouvriraient donc à nouveau. Malheureusement cela n’arriverait pas.

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